Il était inévitable ce seuil. Psychologique, symbolique, il marque une première. C’est en rentrant hier (en voiture), que j’ai appris la nouvelle. France Info me donne l’info, brute. 100 dollars. Le cours est redescendu rapidement, aux alentours de 99 dollars. un peu à la manière d’un enfant qui fait une bêtise, s’en rend compte, mais essaie tout de même. On met la main et hop, on l’enlève. En un an, le prix du baril a gagné plus de 58 %.

Les raisons sont multiples, complexes. Au centre, la situation du Nigéria. Le premier pays africain exportateur de pétrole brut a réduit ses volumes de 20% depuis deux ans… L’attaque d’un commissariat et d’un hôtel dans l’une des principales villes pétrolière ne va pas arranger la situation. Sur place, les exploitants ne vont pas avoir d’autre choix que de resserrer encore un peu plus les vannes.

Ce seuil psychologique, devrait servir de déclencheur, de déclic pour un passage vers une alternative. En fait, secrètement, je me disais, un peu naïvement, que le baril à 100 dollars, c’est un peu la dernière limite, la ligne jaune qui fera réagit les puissants. Mais pour le moment pas de déclarations. Finalement, le baril à 100 dollars, c’est comme le paquet de clope à 5€. On ne l’envisage pas, et puis…

A part ça depuis 3 jours, on peut (enfin) respirer en buvant son thé dans un café ! Une bonne nouvelle pour la santé de nos petits poumons, et aussi pour nos pailles. Je peux encore mieux apprécier le thé ! Bonne année avec Bien et Bio.

Source : LeFigaro

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