Comment vivre mieux et en bonne santé grâce à une alimentation saine et équilibrée ?
« Fais en sorte que ton aliment soit ton médicament » selon Hippocrate
Pour vivre en bonne santé, plus longtemps et dans le respect de votre environnement, découvrez nos quelques conseils basés sur des principes simples à la portée de tous et que vous pouvez vous appliquer à tous moments.
Respecter l’environnement
Respectez l’environnement mais aussi votre corps, il est important de manger des aliments frais issus de l’agriculture biologique, des produits locaux et des produits de saisons.
Privilégier les produits issus de l’agriculture biologique et les labels certifiés
Malheureusement, la culture intensive et notre volonté d’avoir tous les produits en toute saison a entraîné l’usage intensifs des pesticides de manières importantes et croissantes dans toutes les cultures. Malheureusement les pesticides sont impliqués dans de nombreuses maladies, comme la stérilité, le cancer, des malformations. Dans la jungle des logos et des différents labels, il est important de vérifier les étiquettes et le descriptif des produits et leurs origines.
Reprendre le goût de cuisiner des aliments frais
Cuisinez des aliments frais et n’achetez pas de produits transformés dans lesquelles les bonnes vitamines et les nutriments ne sont plus actifs et sans saveur. Vous avez le choix de trouver des bons produits dans les fermes de proximité à des prix abordables, cultivés en local. Vous consommerez responsable et éviterez tous les emballages inutiles et coûteux. Vous aurez en plus la grande satisfaction de protéger votre planète en visant le zéro déchet.
Filtrer votre eau
Filtrez votre eau chez vous en investissant dans une fontaine à eau filtrante ou un ionisateur d’eau. Cela permet de limiter les résidus, de dynamiser votre eau et vous n’aurez plus la corvée d’achat de bouteilles d’eau lourde à transporter et à jeter ; sans compter des économies et une eau meilleure pour votre corps et pour toute la famille. Dans tous les cas, évitez tous les produits conditionnés en barquette ou sachet qui peuvent contenir du bisphénol A y compris les bouteilles d’eau minérale en plastique. Des alternatives existent pour filtrer l’eau ou l’alcaniser grâce à des fontaines filtrantes ou des ionisateurs d’eau à installer dans la cuisine ou directement à l’arrivée d’eau ou sous l’évier.
Minimiser l’apport de viande
Réduisez l’apport de viande en choisissant des bonnes matières grasses, vous pourrez manger sans compter vos calories et faire le plein de vitamines essentielles à votre organisme.
Pour une bonne vitalité, il est recommandé de bien manger le matin ce qui laisse la journée à votre organisme pour brûler les calories nécessaires à son bon fonctionnement.
Eviter les produits trop sucrés
Évitez les produits trop sucrés et en privilégiant les sucres naturels et ceux à faibles indice glycémique comme le sucre ou sirop de coco, le sirop d’agave et le miel, vous pourrez continuer à consommer ou cuisiner avec plaisir.
Limiter les graisses animales
Les bonnes graisses sont nécessaires à notre organisme. Il est conseillé de répartir la consommation de manière équilibré entre Omégas 3 et 6. Choisissez les huiles avec des omégas comme l’huile de lin, de carmeline ou des huiles mélangées, indispensables au bon fonctionnement de votre organisme. Vous pouvez aussi compléter vos apports en prenant des compléments alimentaires huile de bourrache, huile de son de riz.
Manger des fruits et des végétaux
Mangez des fruits et des végétaux le plus souvent possible et faire des cures de fruits et légumes régulièrement vous permettra de faire le plein de vitamines et vous apportera un regain d’énergie tout en vous détoxifiant. Pour faire vos cures de smoothie, utilisez un extracteur de jus (Extra jus, Siméo, Sana by Omega, Yden, Greenstar Elite…) qui broie les légumes verts, les fruits, les oléagineux, avec une rotation lente qui ne chauffe pas et qui préserve les vitamines et les nutriments de vos aliments. Découvrez tous les bienfaits des jus au quotidien, comment faire des cures équilibrées, comment choisir son extracteur sans oublier de nombreuses recettes savoureuses et gustatives. Pour vous aider dans votre choix, consultez notre comparateur d’extracteurs verticaux ou horizontaux.
Pratiquer une activité sportive régulièrement
Pratiquez une activité sportive régulièrement que cela soit de la marche à pied, faire du vélo, nager, courir, faire du stretching, du yoga ou toutes autres activités en salle de sport ou dehors de votre choix. Si le temps vous manque, choisissez de monter les marches à pieds plutôt que prendre l’ascenseur, prendre votre vélo ou marcher plutôt que de prendre la voiture ou le bus…
Prendre du temps pour soi
Prenez du temps pour vous en méditant, en lisant, en prenant soin de soi, en faisant des massages, des soins corporels.
Optimiser son assiette : diversification, préparation et absorption
Pour aller plus loin que les principes de base, pensez à intégrer des techniques qui améliorent la prébiotiques, probiotiques, fermentation et la biodisponibilité des nutriments. La fermentation domestique (choucroute, kéfir, légumes lactofermentés) et la germination des graines augmentent la richesse en enzymes et micro-organismes bénéfiques, favorisant un microbiote intestinal plus résilient et une meilleure digestion. Compléter son alimentation avec des aliments riches en fibres solubles, des légumineuses préparées correctement (trempage, cuisson douce) et des céréales complètes aide à nourrir ces bactéries utiles et soutient l’équilibre métabolique. De plus, associer judicieusement les aliments — par exemple vitamine C et aliments riches en fer non hémique — optimise l’absorption des oligo-éléments sans recourir à des suppléments systématiques. Pour approfondir ces approches pratiques, consultez des ressources dédiées comme Pur Bien-Être.
Au-delà des recettes, misez sur l’organisation et l’écoute du corps : la planification des repas et le batch cooking permettent de varier les textures et d’augmenter la part de préparations maison, tout en limitant le gaspillage. Adoptez une alimentation consciente en ralentissant la prise alimentaire, en favorisant la mastication et en respectant les signaux de satiété ; cela améliore le contrôle des portions et la gestion glycémique. Tournez-vous aussi vers des méthodes de cuisson douce (vapeur, basse température) pour préserver les phytonutriments et les vitamines sensibles à la chaleur. Enfin, la rotation des aliments — introduire régulièrement de nouvelles plantes, épices et légumes racines — stimule la diversité microbiologique et enrichit l’apport en composés bioactifs, antioxydants et micronutriments essentiels à une vitalité durable.
Optimiser la digestion et la biodisponibilité des nutriments
Pour aller plus loin dans une alimentation réellement bénéfique, pensez à renforcer le rôle de votre microbiote intestinal en intégrant davantage d’aliments fermentés et riches en fibres. Les fermentations maison ou artisanales apportent des probiotiques naturels et des enzymes favorisant la digestion, tandis que les fibres solubles et insolubles agissent comme prébiotiques pour nourrir les bonnes bactéries. Introduisez régulièrement des légumineuses et des céréales complètes, faites tremper ou faire germer les graines et les légumineuses avant cuisson pour réduire les facteurs anti-nutritionnels (phytates) et améliorer l’absorption des minéraux comme le fer et le zinc. Les polyphénols et autres phytonutriments issus des épices, des tisanes et des légumes colorés complètent ce travail en offrant un puissant soutien antioxydant.
Adoptez aussi des techniques culinaires qui préservent la biodisponibilité des nutriments : cuisson douce à la vapeur, pressage à froid pour les jus, cuisson lente pour les légumineuses. Une bonne mastication, des horaires de repas réguliers et le respect du rythme circadien contribuent à une meilleure régulation métabolique et à une gestion de la satiété.
Personnaliser son parcours santé : bilans, suivi et stratégies complémentaires
Au‑delà des principes généraux, une approche individualisée permet d’optimiser durablement votre vitalité. Commencez par réaliser un bilan nutritionnel et métabolique adapté (profil lipidique, bilan des oligo-éléments, marqueurs inflammatoires, fonction hépatique) afin d’identifier des déséquilibres invisibles au quotidien. Ces données ouvrent la voie à des ajustements ciblés : adaptation des apports en micronutriments, modulation des acides gras pour améliorer le profil lipidique, ou introduction ponctuelle de nutraceutiques spécifiques pour soutenir la réparation cellulaire et la régulation immunitaire. Pour certaines personnes, des stratégies temporaires comme le jeûne intermittent ou la réduction cyclique des calories peuvent être envisagées pour stimuler l’autophagie et favoriser le renouvellement cellulaire, sous supervision professionnelle. L’objectif n’est pas l’extrême, mais l’efficacité mesurable et la prévention des états inflammatoires chroniques.
Compléter ce suivi par l’analyse du microbiome (séquençage et évaluation du métabolome intestinal) aide à personnaliser les conseils alimentaires et les cures probiotique/prébiotique, en ciblant les espèces microbiennes à renforcer ou à modérer. Intégrez aussi des indicateurs de mode de vie : qualité du sommeil, charge de stress, activité physique et exposition environnementale — autant de facteurs qui influent sur la réponse métabolique et la résilience. En combinant analyses ciblées, suivi régulier et interventions personnalisées, vous augmentez vos chances d’atteindre un état durable de bien‑être, avec une meilleure prévention des désordres métaboliques et une amélioration sensible de la performance physiologique.
Compléments pratiques : viser la longévité cellulaire par l’alimentation
Au‑delà des principes déjà évoqués, une stratégie utile consiste à intégrer des aliments fonctionnels qui soutiennent directement les processus cellulaires — réparation, métabolisme énergétique et défense antioxydante. Pensez en termes de « qualité cellulaire » : stimuler les sirtuines et optimiser la santé des mitochondries passe par des apports ciblés en cofacteurs (vitamines du groupe B, magnésium), en composés bioactifs (polyphénols, phytostérols) et en nutriments impliqués dans la méthylation (choline, bétaïne). L’objectif n’est pas la supplémentation systématique mais la diversification d’aliments riches en ces molécules pour augmenter la densité nutritionnelle, réserve antioxydante et hydratation cellulaire de votre alimentation, tout en réduisant l’exposition aux facteurs pro‑oxydants (aliments ultratransformés, cuisson excessive).
D’un point de vue pratique, adaptez la chronobiologie alimentaire : fractionnez les apports protéiques au cours de la journée pour préserver la masse maigre, favorisez des collations à faible index insulinique et augmentez la part d’aliments riches en co‑nutriments (légumes colorés, graines, bouillons riches en minéraux) pour améliorer la biotransformation hépatique. Introduisez régulièrement des herbes aromatiques et des épices pour leur potentiel anti‑inflammatoire et antioxydant, variez les textures pour stimuler la salivation et la digestion enzymatique, et soignez l’« assiette micro‑écologique » en alternant sources de glucides complexes, lipides insaturés et fibres fermentescibles. Ces ajustements, simples et concrets, renforcent la résistance métabolique, limitent le stress oxydatif et participent à une vitalité durable sans recourir à des restrictions radicales.