L’être humain est une formidable machine adaptative qui, depuis ses origines, a fait évoluer ses multiples cultures, techniques et outils pour faire avancer la civilisation et construire les sociétés qui ont les nôtres aujourd’hui. L’effort collectif est à la base de tout entreprise de groupe mais il ne faut pas oublier non plus que notre organisme individuel a aussi joué un grand rôle dans les bouleversements sociétaux qui ont permis d’offrir la société d’abondance à une grande partie de l’humanité.

Ceci est particulièrement vrai dans les habitudes et les coutumes alimentaires. On dit souvent que les modes d’alimentation d’un groupe humain sont révélateurs de sa culture. Or, avant que l’élevage du bétail n’apparaisse, nos corps d’adultes ne disposaient pas du matériel génétique pour assimiler le lactose mais, comme nécessité fait force de loi dans la nature, c’est aujourd’hui le contraire qui est la norme et l’intolérance au lactose en Europe concerne une minorité de la population.

L’intolérance au lactose, une anormalité ?

Pour digérer le lactose, la protéine principale du lait, l’organisme des mammifères doit sécréter une enzyme particulière, la lactase. Or nous ne sommes pas biologiquement programmés pour la produire après la période de sevrage. Pourtant, il y a environ 10 000 ans, l’implantation des sociétés agricoles et le développement de l’élevage ont produit de profondes évolutions physiologiques qui font qu’aujourd’hui seuls 40% environ des européens sont toujours incapables de digérer le lactose.

En France, on estime à environ 5 millions le nombre de personnes qui souffrent régulièrement de l’intolérance au lactose. Il faut cependant bien distinguer cette affection de l’allergie au lactose. La première provoque des symptômes comme des maux de ventre, des ballonnements, des gaz ou des diarrhées, voire des nausées ou des vomissements mais jamais de réactions immunitaires fortes, comme c’est le cas de la seconde.

digestion lactose

Tester l’intolérance au lactose

Le lactose est présent dans tous les produits laitiers mais pas seulement. On en trouve dans les pâtisseries, les plats en sauce, les vinaigrettes industrielles, la charcuterie ou même le chocolat. L’intolérance au lactose est donc un vrai calvaire pour ceux qui en souffrent car elle limite drastiquement la variété de leur alimentation et les oblige à une vigilance de tous les instants. Se faire tester pour savoir si l’on est effectivement intolérant à cette substance est donc essentiel en cas de doute.

A lire :   Comment réussir son jeûne thérapeutique ?

Il existe un grand nombre de possibilités pour se faire tester. Tests sanguins, génétiques ou respiratoires peuvent être réalisés dans un cadre hospitalier par exemple. Plus simple, plus rapide et moins contraignant, on vous conseille plutôt le test de supplémentation en lactase. Celui-ci consiste à consommer un produit lactosé juste après avoir pris un complément alimentaire riche en lactase, comme Lactolérance par exemple. Si vos symptômes disparaissent, vous êtes effectivement intolérant au lactose.

Comment vivre avec une intolérance au lactose ?

L’intolérance au lactose est une véritable plaie pour ceux qui en sont victimes. En effet, on peut tout à fait vivre sans jamais consommer d’aliments lactés mais ceci est particulièrement contraignant. L’organisme n’a pas absolument besoin du lactose pour croître mais il peut tout de même être un élément important pour répondre aux besoins en calcium et aider à la calcification des os par exemple. De plus, le lactose est présent dans un grand nombre d’aliments préparés.

Il est donc préférable de modérer sa consommation de produits lactosés tout en aidant le corps à les assimiler grâce à des compléments alimentaires adaptés. C’est notamment le cas de Lactolérance, un produit sain, naturel et sans aucun effet secondaire qui permet d’apporter les enzymes lactases manquantes à l’organisme qui souffre d’intolérance au lactose. Vous retrouverez ainsi le plaisir du lait et la possibilité de varier votre alimentation selon vos propres désirs !